genre et paix

La mission du groupe de travail Genre et Paix

Dans une approche de sciences sociales et à partir de différents terrains d’enquête (Israël/ Palestine et Colombie dans un premier temps), ce GT étudie deux des principales limites qui caractérisent les initiatives en faveur d’une plus grande prise en compte des femmes dans la prévention et la résolution des conflits, à savoir : une conception encore essentialiste des femmes comme constructrices « naturelles » de la paix ou comme victimes des violences – sexuelles notamment – et le manque de considération pour la diversité des situations et des expériences locales

Pour cela, deux axes de recherche ont été identifiés : les stratégies locales de mobilisation des femmes pour la recherche de paix comme nouvelle approche de la « diplomatie féministe », et le rôle de la coopération internationale dans la promotion de la participation des femmes aux résolutions de conflit.

Animatrices : Valérie Pouzol, Maîtresse de conférences en Histoire contemporaine, (Université Paris 8) et Camille Boutron, chercheuse (IRSEM).

Actualités et Publications

Evènements

Rencontres annuelles 2025 de l’Institut Pour la Paix

Trois ans après sa création, l’Institut Pour la Paix (IPP) propose ses rencontres annuelles comme un moment de réflexion sur son cheminement et ses perspectives de travail. Depuis 2022, l’IPP a affirmé une double orientation : inscrire durablement les études de paix dans le champ universitaire français, en dialogue avec les études sur la guerre et la stratégie ; et construire un espace autonome de traduction entre pratiques universitaires, militantes et des mondes politique et militaire.

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De amor, sangre y vientre : Politisation des sujets-victimes et gestation d’une paix transformatrice en Colombie

Rejoignez nous le mercredi 7 mai à 16h pour la présentation du livre « De amor, sangre y vientre : politisation des sujets victimes et gestation d’une paix transformatrice en Colombie » ! La présentation se fera en présence de l’autrice Diana Gómez et en discussion avec Miguel Ángel Vargas, réfugié en France, ainsi que des membres de TEJE et de l’Association des Juristes Franco-Colombiens.

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Autres groupes de travail