Université de la Paix sur le thème « Femmes et Paix »
L’Institut international des droits de l’Homme et de la paix organise, avec le soutien de la Région Normandie et de l’Université de Caen-Normandie, la 22e édition de l’Université de la
Dans une approche de sciences sociales et à partir de différents terrains d’enquête (Israël/ Palestine et Colombie dans un premier temps), ce GT étudie deux des principales limites qui caractérisent les initiatives en faveur d’une plus grande prise en compte des femmes dans la prévention et la résolution des conflits, à savoir : une conception encore essentialiste des femmes comme constructrices « naturelles » de la paix ou comme victimes des violences – sexuelles notamment – et le manque de considération pour la diversité des situations et des expériences locales.
Pour cela, deux axes de recherche ont été identifiés : les stratégies locales de mobilisation des femmes pour la recherche de paix comme nouvelle approche de la « diplomatie féministe », et le rôle de la coopération internationale dans la promotion de la participation des femmes aux résolutions de conflit.
Animatrices : Valérie Pouzol, Maîtresse de conférences en Histoire contemporaine, (Université Paris 8) et Camille Boutron, chercheuse (IRSEM).
L’Institut international des droits de l’Homme et de la paix organise, avec le soutien de la Région Normandie et de l’Université de Caen-Normandie, la 22e édition de l’Université de la
« Cette guerre est une guerre des cultures », déclarait Olga Sagaidak, représentante de l’Institut Ukrainien en France et réfugiée ukrainienne à Paris depuis mars 2022, dans une interview pour l’ICNC (International
Les femmes et les jeunes militants se retrouvent régulièrement en première ligne des campagnes d’action non violente les plus impressionnantes du monde, comme les manifestations en cours en Iran. Et
La première réunion du Groupe de Travail « Paix et genre » a eu lieu le 8 septembre dernier dans les locaux du Laboratoire d’Études de Genre et de Sexualité (LEGS),
Ce colloque international et pluridisciplinaire ouvert au public poursuit deux principaux objectifs. Il vise d’abord à analyser les tenants et aboutissants des opérations Serval puis Barkhane dans cinq pays francophones de la partie occidentale du Sahel. Dans un deuxième temps, et en dépit de l’existence d’une poignée de rapports parlementaires, il interroge l’absence de bilan critique de la part des autorités d’une intervention pourtant présentée comme la plus importante opération militaire outre-mer de la France depuis la guerre d’Algérie.
Depuis que la guerre est de retour sur le sol européen en 2022 (puis au Moyen Orient en 2023 et ailleurs en Afrique depuis plus longtemps), et offre sa catastrophique réalité aux yeux du monde, parler de paix semble de plus en plus délicat, sinon inaudible. Or, si le pacifisme part de la conviction que « la guerre n’est pas une fatalité et qu’il semble possible moralement et rationnellement, d’y mettre fin ou à défaut, d’en atténuer la fréquence et les néfastes conséquences » (Questions internationales), ce courant couvre en réalité de nombreuses postures et perspectives. Le colloque entend aborder la question du pacifisme au XXIe siècle à travers plusieurs axes, ce qui n’exclut pas de prendre en considération d’autres époques historiques.